Face aux difficultés de la vie parfois extrêmes, face à la baisse du pouvoir d’achat, au mépris des droits sociaux, à l’échec des gouvernements successifs, les salariés peuvent être tentés par un vote pour l’extrême droite.
Or l’extrême droite est et sera toujours l’ennemi du monde du travail, elle le montre partout où elle est au pouvoir comme en Hongrie ou au Brésil où elle porte gravement atteinte aux libertés individuelles et collectives.
La stratégie du RN se nourrit de la colère sociale mais ce n’est qu’un leurre. Rien à attendre de leur part pour nos salaires, nos pensions, notre protection sociale, ni pour les services publics.
Au contraire, l’extrême droite cherche à diviser les salariés en les opposant en fonction de leur nationalité ou de leur origine.
Donc le 24 avril, pas une voix ne doit se porter sur Marine Lepen, candidate de l’extrême droite raciste, xénophobe et anti sociale.
Lire le texte de l’appel unitairec ontre l’extrême droite, pour la justice sociale et l’égalité
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